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Saint Malo du Bois

La commune

Si Saint Malô du Bois a toute l’apparence d’un paisible bourg du bocage vendéen, il suffit de s’y arrêter quelques instants pour s’apercevoir que les Malouins conjuguent au quotidien le bien-être et un formidable esprit d’entreprise ; un bien-être favorisé par le cadre de vie verdoyant et la proximité de commerces et services.

L’agriculture y occupe encore aujourd’hui une place de choix,quand le tissu artisanal et industriel se relève plutôt bien des crises du meuble, du textile et de la chaussure. Le dynamisme des bassins d’emploi choletais et herbretais, mais également le maillage économique du tissu rural, contribuent au développement de la commune dont la population ne cesse de progresser avec ses 1600 habitants.

L''historique

Saint Malô du bois doit son nom à Saint Maclou ou Saint Malô, évêque d’Aleth, près de la ville de Saint Malo en Bretagne, et son surnom au bocage épais qui environnait jadis le bourg. C’est un petit village, presque sans histoire. Ni châteaux, ni belles demeures. Le vent de la tourmente a soufflé en 1793, tout le pays étant à feu et à sang au lendemain de la révolution. Un bon nombre de malouins participent très activement au spectacle voisin du Puy du Fou, dont la renommée n’est plus à faire.

L'environnement

Un bourg juché sur les douces collines vendéennes. Des vallées où serpentent ruisseaux et rivières. Quelques halliers et bosquets apportent la touche de vert. La vallée de Poupet, où grouillent les promeneurs aux beaux jours, est aussi connue que sa commune de résidence. C’est dans ce cadre bucolique que serpente une rivière, paisible l’été, parfois indomptable lors de ses crues printanières, les chaussées ne contenant pas son énergie.

L'esprit

Il n’est pas surprenant que le festival de Poupet s’y soit niché. Il n’attire pas moins de 30 000 spectateurs chaque été. Avec d’un côté, la solidité de l’engagement gratuit de ses 450 bénévoles, et de l’autre, ce cadre naturel enchanteur qui en fait la réputation. A Saint Malô du Bois, le goût du projet collectif se vit tant dans les clubs sportifs que dans les mouvements à caractère social.
Plus d’un habitant sur deux oeuvre dans une association.